Site à Bernard

Cartes de Cassini des Servancnautes

Généalogie des Vosges Sâonoises





1 Philippe DURETTE - 2 Bernard PIERRE - 3 Paul DAVID - 4 Jean Claude L'HUILLIER - 5 Bernard PERRET
6 Xavier GRANDMOUGIN - 7 Christiane GEHANT - 8 Claude GEHANT - 9 Marie-Françoise DAVID
10 Micheline PERRET - 11 Annie DUMAIT - 12 pas de douze, c'est la place de Marcel
13 Marie-Christine PETITGENET - 14 Gérard JACQUOT - 15 Maurice DURIEZ - 16 Nicolas WINTZER
17 Ginette POIROT - 18 Christiane DURIEZ - 19 Isabelle GEHAY - 20 Gérard SCHNEIDER - 21 Nelly GIRARD
22 Marie-Louise LAMBOLEY - 23 Marie-Ange JACQUOT











Ça y est, on connaît Nicolas !

       Sympa, comme dans ses messages. Il est venu, en voisin, avec son amie Ginette, une petite blondinette, aussi sympa que lui.
       Rassurez-vous, je ne dirai du mal de personne, ce n'est pas mon habitude. Comme les deux petites "pestes" étaient absentes (elles ont eu peur qu'on accapare trop leurs maris), et comme notre grand alsacien était au travail,occupé, comme vous l'a dit Josette, a leur fabriquer des dessous affriolants, alors j'ai pu déguster la vosgiflette en toute quiétude, bien heureuse de revoir ceux et celles que je connaissais déjà, et de faire connaissance avec les autres servancnautes.
       Xavier est arrivé le premier, comme à Ronchamp. Tous ces km qu'il a fait pour venir nous voir, alors qu'il n'a même pas d'ancêtres dans le coin. Je crois qu'il a voulu se rendre compte si la vosgiflette était aussi bonne que sa consoeur la tartiflette.
       Marie-Françoise et Paul DAVID qui viennent aussi "de par là-bas" ont pu faire de même. Paul, un petit air de Patrick Topaloff, en plus beau mais avec autant d'humour, a failli dévaliser la réserve de bière de l'auberge (faut dire que le lard grillé aux girolles et la vosgiflette ça donne la pépie) et Marie-Françoise ne s'est pas sentie dépaysée parmi tous ces généalogistes amateurs.
       Nelly GIRARD , Christiane GEHANT, Jean-Claude L'HUILLIER, Philippe DURETTE, venu en train de Paris à Nancy et en voiture jusqu'au MENIL (faut-il qu'il aime les servancnautes) mon conscrit, Maurice DURIEZ et sa Kiki, Bernard PERRET et sa Micheline, non pas le TGV, sa Micheline, son épouse, faut suivre, car je ne vais pas recommencer, Annie DUMAIT, Isabelle GEHAY, Bernard PIERRE, qui craignait que je ramène les connexions intempestives d'aol sur le nanard, non, sur le tapis, la petite nouvelle sur la liste, Marie-Christine PETITGENET, tout se monde accompagné des conjoints et amis, et bien sûr, Marcel et Loulou LAMBOLEY, qui répondent toujours "présents" à toutes les manifestations des servancnautes, sans oublier mon Gérard, qui avait fait le déplacement depuis Chalain et qui va en profiter pour m'y ramener, car la vaisselle sale s'entasse : pas trouvé de vacancière pour la lui faire.
       Ça bourdonnait dans le resto tant ça papotait de généalogie. Enfin, après la photo de famille, et après avoir fait des câlins aux deux petites chattes du resto, et immortalisé les vaches vosgiennes pour Josette, il fallut nous quitter, en parlant de la prochaine grande concentration de servancnautes, au VENTRON l'année prochaine.
       Nous avons regretté l'absence d'Anne PIERROT, qui après avoir cassé sa voiture, a réussi à casser la 2ème plus son ordi, enfin pas des accidents heureusement, que des pannes ! c'est la cerise, Anne, pardon, la guigne.
A la prochaine et merci à tous d'être venus si nombreux
Marie Ange



Cliquer sur les photos pour agrandir, précèdent pour revenir







A Toutes et à Tous, tout comme à Chacune et à Chacun,

       De grosses bises à Marie Ange pour nous avoir organisé cette journée vosgienne (à vrai dire, Marie-Ange cherchait un prétexte pour rencontrer le N... mais chut ! C'est un secret et elle ne serait pas contente que ça se sache...)
       Quant aux absents, ça oui on a pensé à vous. Surtout en considérant tout ce que vous avez manqué.
       Par exemple, une superbe journée pleine de soleil et, cette année, le soleil, il s'est fait plutôt timide. Et puis aussi, une gentille auberge avec des vaches, eh oui ! ça existe toujours ces bêtes-là. Fallait voir l'attroupement qu'elles ont causé, surtout du coté des hommes et y a même fallu rappeler le Marcel pour qu'il nous fasse la photo. Oui ! La nôtre à nous. Médusé qu'il était par une belle noire qui, ma fois, le lui rendait bien. D'ailleurs, c'est la seule engeance qui a spontanément accepté de poser pour lui.
       Nous, il y a fallu qu'il nous secoue un peu, le Marcel : pensez donc, on s'était tous rassemblé, peinards, à l'ombre du tilleul qui a donné son nom à l'auberge. Mais l'ombre, parait que ça se marie pas bien avec la photo. Alors, le Marcel, il nous a fait déménager - d'un bon mètre au moins, mais avec la chaleur... - et on s'est tous retrouvé grimaçant comme des damnés avec le soleil en plein dans les mirettes : y parait que comme cela, ça impressionne mieux la pellicule ou plutôt le grouchmule informatique qui la remplace.
       Mais, je tiens à le préciser à vous autres, les absents: comme on était quasi en déplacement à l'étranger, chacun a eu à coeur de bien se tenir pour laisser une bonne opinion derrière nous (on ne sait jamais ; des fois que les Lorrains mettraient un veto à nous laisser consulter les registres de Ramonchamp et autres lieux...) Aussi personne n'a parlé du "petit oiseau qui va ...". Même le Marcel, il a été irréprochable. C'est vous dire !
       Mais avant d'aller aux vaches et de faire de la photo, on a pris le temps de se refaire la panse et le gosier ; tout ça en pensant à vous, les absents, vous allez quand même pas en douter ! Le menu, vous le connaissez déjà : la vosgiflette, le lard poêlé aux girolles... Mais vous a-t-on causé de la fondue de poireaux qui accompagnait subtilement tout cela ? Et le dessert ? Pour certains attirés sans doute par le goût de l'interdit, carrément une coupe "prohibition" ! Pour d'autres de la tarte et pour ma pomme de la glace à la mirabelle. C'est pas beau tout cela. Ca vous fait pas saliver toutes ces bonnes choses, les absents ?
       Mais rassurez-vous l'esprit était là, lui aussi. On a failli commencer par débattre de tout et de rien. Mais on s'est vite repris, aidés par quelques histoires belges qui nous ont bien fait rigoler les neurones. On avait la permission vu que le premier à tirer (à la russe ou à la belge, Marcel ? ), c'était le Paul D*** qui a des accointances dans le royaume de par là-haut.
       Entre nous, ce gars-là, il nous a estomaqué : il nous a siffléun demi plus vite que le commun des mortels une tasse à moka ! En outre, le Marcel, il nous a rappelé qu'à une époque ancienne (Charles Quint, Philippe II d'Espagne... bref que des ancêtres à Papi Valdenaire tout ce beau monde), la Franche Comté avait eu pour capitale Bruxelles. Alors en se moquant des Belges, on se moquait (un peu seulement ; faut quand même pas exagérer !) de nous-mêmes.

Voila, quelques impressions de cette journée. Vous voyez bien les absents qu'on a eu pleins d'occasions de penser à vous...
Philippe D***