Les Livres Virtuels

Index Les Voyageurs de la PRINCESS AUGUSTA



NOTE TECHNIQUE




Remerciements
       Un grand merci à tous ceux qui m’ont aidée. Cependant, je suis seule responsable (moralement et intellectuellement) du produit fini, et des fautes de frappe qui s’y sont vraisemblablement glissées.


Index des familles étudiées:

       « Seven families » (catholiques salmois) et leur entourage:

       familles ORY (ULRICH, URY, OLRY, ORE, OREY, OWREY...), RAGUET, STRASBACH (TRASBART, STRASBAUGH, ... et un nombre infini de variantes), GERARD, DELON (DILLON, DILLOW, ...),

       Familles en principe protestantes et bandelarochoises, ou ayant un lien avec le Ban de la Roche:

       BINGELLI (BIGLI, PINCKELE, PINCKLEY, BINKLEY); BRULLHARD (BRINHARTT); BURR (BURRI); CAQUELIN ( GOCKLEY); CHRISTMANN, DALEBACH (DELLENBACH); EYER (LE EYER, EICHER); HENNI; KLORNER (KLARER); KOMMER; MARCHAL; RINGELSBACH (RINGISPRACHER, RINDLISPRACHER) ROPP (RUPP); ROTH; ROUSHTY (RUSHTY ); SCHEPPLER; SCHLABACH (SCHLEBACH); SCHLASTER, (SCHLASHTER, SCHLECHT, SCHLECHTY); STOLL; STUCKER (STUCKY, STUCKEY); VERLY (WERLY, WERLE); TEPPE (DEPP, DEPPEN); ZEHNTER (ZEHENDER)


Relations avec mes autres ouvrages

       Relations avec les versions antérieures:

       Cet ouvrage a connu des versions antérieures, moins complètes, mais sans erreur particulière dont j’aie connaissance

       Relations avec Généalogie des habitants du Ban de la Roche et de leurs légendes et avec Magique Pays de Salm

       Le présent texte en est le complément; aussi, je ne me sens pas tenue de citer à nouveau, dans le détail, une source déjà citée dans ces ouvrages


Relation avec le travail d’autres auteurs

       Plusieurs descendants américains de migrants de la Princess Augusta ont écrit des livres virtuels aussi documentés que passionnants sur le destin de ces personnes une fois arrivées en Amérique. En conséquence, je ne me sens pas tenue d’écrire longuement sur le devenir américain de ces familles. Je ne vois pas l’intérêt de redire mal ce que les descendants ont bien dit. Comme dit le poete: « Je hais comme la mort l’état de plagiaire; Mon verre n’est pas grand mais je bois dans mon verre »; le lecteur voudra donc bien considérer que je me suis fixé pour seul objectif de le conduire à bon port sur les côtes de Pennsylvanie; une fois là, si la suite de l’historie d’interesse, je lui conseille de se reporter aux livres virtuels suivants:

       Dillon family of Buchanan Valley, par Richad Dillon:

       http://familytreemaker.genealogy.com/users/d/i/l/Richard-Ignatius-Dillon/PDFBOOK1.pdf

       The Strausbaugh book, par Don Osborn:

       http://www.mcn.org/2/noel/location.htm

       Egalement lisibles en ligne:

       Deux ouvrages très documentés:

       Neuviller les Badonviller, du Moyen-Age au 26 décembre 1999, par Bernard Louis, maire de le commune:

       http://badonpierre.free.fr/neuviller/neu1.html

       Etude sur les paroisses du Val d’Allarmont, par Pierre GENY

       http://badonpierre.free.fr/geny/histvalleedecelles.html

       Sites Web:

       Sur Badonviller et les villages d’origine des « Seven families »:

       http://badonpierre.free.fr/

       Sur les « Seven families » et leur voyage sur la Princess Augusta:

       http://www.mcn.org/2/noel/location.htm
       (ce site est très fédérateur; de là, on est redirigé vers les sites propres à chaque famille)

       Sur le Ban de la Roche et le pays de Salm:

       http://badonpierre.free.fr/salmpierre/mfrancois.html

       Sur les familles Bingelli/Pinckelé/Binkley en Amérique:

       http://binckley.zionweb.org/

       Sur les familles moraves ou devenues moraves en Amérique:

       http://www.enter.net/~smschlack/

       http://www.fmoran.com/

       Sur Adamnsville:

       http://home.alltel.net/yoset/CCo/history/1885/WFallowfield.html#Adamsville


Do you speak Pennsylvanian English?

       Termes à connaître:

       Palatine: ce mot est employé par les Américains pour désigner non seulement les immigrants du Palatinat, mais aussi ceux de toute la région Rhénane, Suisse et Alsace comprise

       Pennsylvania Dutch (la langue): dialecte allemand (et non hollandais) parlé par les immigrants, et, encore aujourd’hui, par les anabaptistes; il s’agit du dialecte tel qu’il est parlé (car il y a plusieurs variantes) dans la région de Berne, en Suisse, ainsi que dans les parties de l’Alsace les plus proches de cette région, ce qui inclut les villages germanophones voisins du Ban de la Roche; l’Essor n 97 relate la visite d’un groupe de Amish de Pennsylvanie au Ban de la Roche; ils ne parlaient pas français; leurs hôtes ne parlaient pas anglais; on communiqua donc en « Pennsylvania Dutch »; sans la moindre difficulté, à la grande surprise de tous; d’après la partie française, ce dialecte ne présentait pas de différences substantielles avec le dialecte alsacien de la région

       Pennsylvania Dutch (les personnes); ceux qui parlent le Pennsylvania Dutch à savoir, aujourd’hui, principalement les Amish, mais autrefois plusieurs groupes de migrants quelle que soit leur religion; « Gay Pennsylvania Dutch »: personne parlant ce dialecte, de religion réformée ou luthérienne; « Plain Pennsylvania Dutch »: personne parlant ce dialecte, de religion Amish, ou autre petite Eglise plus ou moins fondamentaliste

       Pennsylvania Dutch Country, ou Amish Country: le Comté de Lancastre


Parlez vous le Français d’Alsace?

       Termes à connaître:

       France de l’intérieur: la France sauf l’Alsace; quand le mot « France » saute, l’expression n’est pas toujours facile à reconnaître: « Cet été, j’ai bien envie de passer mes vacances à l’intérieur... » (cette phrase ne veut évidemment pas dire que la personne a l’intention de passer ses vacances enfermée dans son appartement : plus vraisemblablement, elle visitera Paris ou elle ira se baigner sur la côte)

       Dialecte: même en Français, ce mot désigne exclusivement le dialecte alsacien germanique; pour les parlers villageois romans des confins ouest de l’Alsace, on dit: « le patois welsche »

       Welsche: francophone; terme utilisé aussi bien en Alsace qu’en Suisse; peut être péjoratif, mais pas forcément; la racine est la même que dans « Gaulois »; comme le sait tout Français: « Nos ancêtres les Gaulois... » (quand j’étais enfant, c’est par ces mots que commençait tout livre d’Histoire de France digne de ce nom); note for the English-speaking reader: rien à voir (sauf sur le plan éthymologique) avec le pays de Galles (Wales), ceux qui l’habitent (Welsh) ou avec l’Irlande et sa langue (Gaelic); certes, il y a toujours l’idée d’une origine gauloise, donc celtique, mais fort lointaine quand même; bien plus lointaine que les liens qui unissent ce que l’on appelle aujourd’hui les régions « celtiques »; Irlande, Pays de Galles, Ecosse, Bretagne française (= Britanny, et non Britain)

       Malgré-nous: pendant les deux guerres mondiales: Alsacien incorporé contre son gré dans l’armée allemande; l’expression est utilisée comme substantif: « Mon grand-père Helmut, un malgré-nous, a déserté dès qu’il a pu...»


Code des départements et des communes français

       French « counties » and villages

       54 = Meurthe et Moselle; 67 = département du Bas Rhin; 68 = département du Haut Rhin; 88 = Vosges
       Note for the American reader: these two-figure postal codes are those of a « département » (« County »); the « communes (= town or village) have five-figure numbers, the two first numbers being those of the « département », the last three being specific to the « commune »; in this book, you sometimes will find a five figure number; it means that in this case I thought that the most efficient way to locate a village without confusion was to give its modern postal code; nevertheless, I did not do this systematically; only when I thought it necessary


Féminin des noms de famille allemands

       A l’époque qui nous interesse, les noms de famille allemands (mais pas les noms français) prennent le féminin quand on parle d’une femme; on dit par exemple: Benedict Schaeffer; mais: Marie-Christine Schaefferin; il faut le savoir, sinon on invente des noms différents là où il n’y en a pas (SCHAEFFERIN par exemple); pour souligner cette particularité, on note parfois ces noms en partie en majuscules, mais en laissant la finale en minuscules: Marie-Christine SCHAEFFERin


Précisions géographiques:

       Sauf mention contraire, les lieux cités sont en Alsace, en Lorraine ou dans les Vosges

       Ne pas confondre Breitenbach et Breitenbach
Il y a en Alsace deux villages homonymes appelés l’un et l’autre Breitenbach.
Breitenbach, 68 fait partie de la paroisse de Munster
Breitenbach, 67 est situé entre Barr et le Ban de la Roche et a été amputé fin XIXème siècle pour composer l’actuelle commune du Hohwald. C’est de ce dernier Breintenbach qu’il est question dans le présent ouvrage.
       Ne pas confondre Neuviller et Neuviller

       Au fil des présentes pages, le lecteur aura l’occasion de rencontrer deux villages du nom de Neuviller, à savoir:
1 Neuviller la Roche, situé, comme son nom l’indique, au Ban de la Roche
2 Neuviller les Badonviller, situé près de Badonviller, capitale du Comté de Salm (à ne pas confondre avec la principauté de Salm, capitale politique Senones, capitale économique La Broque) Note du webmestre: Neuviller n'est devenu "Les Badonviller" que le 23 août 1955
       Ne pas confondre Saulxures et Saulxures

       Etant donné que le nom de Saulxures vient de « sel », il ne manque pas de villages du nom dans la régions Vosges/Lorraine, productrice de sel depuis la préhistoire; le Saulxures qui interesse le présent ouvrage est celui du Bas-Rhin

       Ne pas confondre Munster et Munster

       La ville et la vallée de Munster en Alsace sont le lieu d’origine de plusieurs familles bandelarochoises.

       Munster en Westphalie est une ville connue pour avoir été l’objet de graves désordres lors de la Guerre des Paysans.

       Ne pas confondre Verly et Verly

       Le nom de Verly tel qu’on le porte au Ban de la Roche est une francisation d’un nom suisse (Wehrli/Werli/Werle); c’est bien entendu cette hypothèse qui concerne les familles dont il est question dans cet ouvrage

       Dans le Nord de la France, il existe aussi des Verly dont le nom est une francisation de Van der Linden (nom flamand, bien sur)

       Géographie suisse

       La paroisse de Thurnen (Canton de Berne, Suisse) comprend les hameaux de Steffisburg et Ruggisberg

       Le district de Schwarzenburg (Canton de Berne, Suisse) comprend Guggisberg, Wahlern, Alblingen et Rüesschegg


Codes de méthodes de numérotation en généalogie

       Code généalogique international; international code:

       o = naissance = birth; b = baptème = baptism, not birth; x (c’est le signe « multiplié » évoquant l’idée de fécondité) = mariage (on peut aussi utiliser le signe oo, à l’origine un 8 couché, signe de l’infini; mais personellement je ne le fais pas; j’aime bien le x, car on peut le décliner: xx = second mariage; xxx troisième mariage, etc...) ; )( = divorce (les parenthèses qui se tournent le dos parlent d’elles-même); + (une croix évoquant une pierre tombale) = mort, ou feu = death, or late; ca (latin circa) = à peu près = more or less; dont ou d'où = hence (announces the children of a couple); fs (latin filius) = fils = son of; fa (latin filia) = fille = daughter of; N: personne dont le généalogiste ignore le nom ou le prénom parce que ses sources ne le lui indiquent pas (à distinguer de Inconnu: père inconnu parce qu’il n’a pas voulu assumer l’enfant)

       J’utilise largement ce code; par exemple, cela ne me gêne en rien d’écrire une phrase du genre: « Il s’installe à Natzwiller où il x ( = où il épouse) Catherine, fa ( = fille) de + Ulrich N (= d’une personne décédée dont j’ignore le nom de famille et dont le prénom est Ulrich)»; ce genre de phrases ne m’apporteront vraisemblablement pas le Nobel de littérature, mais elles permettent de gagner de la place; personnellement, j’ai paradodoxalement du mal à suivre lire les articles « non codés », dans lesquels l’auteur prend tout une page pour dire seulement que Monsieur X a rencontré Mademoiselle Y et qu’il en a eu Pierre, Paul et Jacques à telle et telles dates; quand on en arrive au dernier enfant, j’ai oublié qui sont les parents, et je dois « remonter » dans l’article pour les chercher.

       Et surtout, ce code permet aux cousins ne parlant pas le français de retirer de ce livre au moins l’information purement généalogique

       Je déplore la tendance moderne à ce que chacun bricole ses propres abréviations au détriment de l’intercompréhension; en particulier, dans le monde anglo-saxon, il y a une tendance à noter b (de birth) pour une naissance, ce qui induit une confusion entre naissance et baptème; dans la plupart des cas, ce n’est pas grave, le baptème suivant la naissance d’un jour ou deux seulement dans ces sociétés où l’on redoutait que l’enfant meure sans être baptisé; mais, dans le cas de certains anabaptistes réticents à l’enregistrement, la naissance et le baptème peuvent être séparés de plusieurs années.

       Généalogie ascendante et généalogie descendante

       La généalogie ascendante consiste à faire l’arbre généalogique d’une personne. Elle a quelque chose d’un peu étroitement individualiste, ce qui n’empêche qu’elle est incontournable. C’est évidemment l’exercice par lequel chacun commence.

       Numérotation Sosa pour arbres ascendants

       La généalogie ascendante se matérialise par un tableau ascendant réalisé selon la numérotation dite de Sosa-Stradonitz, à savoir un tableau numéroté de la façon suivante:

       1 moi; 2 mon père; 3 ma mère; 4 le père de mon père; 5 la mère de mon père; 6 le père de ma mère; 7 la mère de ma mère, etc...

       Et ainsi de suite; chaque père a un numéro double de celui de son fils ou de sa fille; chaque épouse a le numéro de son mari plus 1. En conséquence, en cas d'information incomplète, la série comporte des trous; par exemple, si le père est inconnu, le numéro 2 est vide et la mère conserve le numéro 3; et bien entendu, quand le père est manquant, ses parents (c’est à dire les Sosa 4 et 5 de la personne dont on fait l’arbre) le sont également, et ainsi de suite (manqueront donc aussi les Sosa 8, 9, 10, 11) etc... Donc, si j’étais née de père inconnu, ma série Sosa se présenterait de la façon suivante:

       1 moi; 3 ma mère; 6 le père de ma mère; 7 la mère de ma mère; 12 le père du père de ma mère; 13 la mère du père de ma mère; 14 le père de la mère de ma mère; 15 la mère de la mère de ma mère; 28 le père du père de la mère de ma mère... etc...

       C’est ce qui explique que, dans les tableaux ascendants du présent ouvrage, vous trouverez de telles « séries à trous »; c’est parfaitement normal; ce n’est pas du à des fautes de frappe.

       En dehors du problème des trous, la numérotation est indiscutable et fixe. Si, par exemple, je sais qui est mon Sosa 97, rien ne pourra faire que ce chiffre disparaisse de mon tableau, ni qu’il soit remplacé par un 96 ou un 98.

       Très pratique, la numérotation Sosa est utilisée par tous les généalogistes sérieux.

       La généalogie descendante est plus universelle. Elle est irremplaçable pour situer une personne dans son milieu familial. Par exemple, si vous voulez décrire mon réseau de cousins germains au moyen d’un tableau qui montre tout d’un seul coup d’œil, vous dessinerez:
- mon pas mon tableau ascendant, qui ne vous donnera que mes ancêtres plus vieux que moi

- non pas non plus mon tableau descendant, qui ne vous donnerait que mes enfants et petits enfants (à supposer que j’en aie)

- vous dessinez plutôt le tableau descendant de l’ancêtre qui est commun aux personnes dont vous souhaitez souligner le lien de cousinage; par exemple, si vous voulez me situer par rapport à mes cousins germains du côté de mon père, vous partirez de l’ancêtre qui est commun à ces cousins et à moi même; en d’autres termes, vous partirez de mon grand-père paternel, c’est à dire de mon Sosa 4 (première génération de votre tableau descendant); vous indiquerez quels sont ses enfants (deuxième génération de son tableau descendant; en d’autres termes mon père et ses éventuels frères et sœurs); puis, vous indiquerez quels sont les enfants de chacun d’entre eux, c’est à dire la troisième génération descendante en partant de mon grand père, c’est à dire moi, mes frères, mes sœurs et mes cousins germains; si vous souhaitez faire connaître tous mes cousins, aussi bien côté paternel que maternel, vous n’échapperez pas à la confection de deux tableaux partant de chancun de mes deux grands-pères; si vous souhaitez me situer par rapport à mes cousins issus de germains: même exercice, mais en partant de plus haut, c’est à dire en mon arrière grand-père.
       Pour quelqu’un comme moi qui écris un livre, l’exercice de base est la généalogie descendante, car elle est plus universelle. Un lecteur qui est un cousin éloigné s’y raccorchera aisément.

       Numérotation d’Aboville pour arbres descendants:

       Les arbres descendants peuvent se numéroter de la façon suivante (numérotation d’Aboville)
- première génération: 1 ;
- deuxième génération: 1-1, 1-2, 1-3 ... ;
- troisième génération fils de 1-1: 1-1-1-, 1-1-2, 1-1-3;
- troisième génération fils de 1-2: 1-2-1, 1-2-2, 1-2-3 ...; etc... la quatrième génération a quatre chiffres; la cinquième génération en a cinq et ainsi de suite; il y a au moins ça d’aisément lisible dans cette foutue méthode.


       En principe, on ne numérote que les garçons.

       Outre ce côté clairement macho, la numérotation d’Abo a des tas d’autres défauts. En particulier, elle est toujours à refaire. Supposez, en effet, que je travaille sur une série de frères numérotés 1-1-2-1; 1-1-2-2-, et ainsi de suite jusqu’à 1-1-2-10; supposez que je me sois bien cassée la tête à affecter à chacun son numéro, ainsi qu’à la génération suivante, qui porte des numéros à 5 chiffres dérivés des numéros à 4 chiffres de la quatrième génération; bon, après m’être cassé la tête, supposez que je découvre un frère qui m’avait échappé, le vrai second fils; hé bien, il faut que je refasse tous mes numéros: 1-2-1 reste tel qu’il est; 1-2-2- devient le numéro du vrai second fils; 1-2-3 devient le numéro de la personne à qui j’avais auparavant attribué le numéro 1-2-2... et ainsi de suite; il faut corriger tous les numéros supérieurs à 1-2-2-; et faire de même pour la génération d’après. C’est la belle galère... et l’erreur à peu près assurée.

       Donc, comme beaucoup de généalogistes, j’utilise la numérotation d’Abo... euh... plus ou moins... à ma façon... quand ça m’arrange... en numérotant parfois les filles... et parfois non... bref je fais ce que je peux pour réaliser le tableau le plus compréhensible possible en fonction de ce que j’ai à dire sur le sujet que je traite.


Copyright

       Mon propre texte est « copyfree », mais interdiction de le tripatouiller.


Netiquette

       Mon texte est mis en commun, mais ma personne reste privée. Il est incorrect de se mettre à la recherche de mon adresse quand je ne la donne pas, et plus encore de la demander à un intermédiaire supposé l’avoir, ou de demander à un webmestre de me poser telle question ou de me faire telle remarque; ces actes de sans-gêne sont rarissimes en comparaison du nombre de personnes qui ont lu mes livres virtuels, mais chacun d’eux a une forte capacité de nuisance, et pourrait même empêcher à terme la réalisation et diffusion de mes travaux, celles-ci reposant sur des moyens fragiles; je ne suis qu’un particulier; toute gêne qui m’est apportée peut compromettre un projet que je ne mène à bien qu’en jonglant

       Liens internet

       Les liens internet que j’ai placés fonctionnent correctement au jour où je les place, mais ils sont fragiles par construction; le meilleur des webmestres peut, demain, décider d’abandonner l’informatique; je ne suis pas responsable de cet état de fait, qui tient à la nature de l’informatique; internet a pour seule vocation la communication entre contemporains; pour la transmission de la mémoire, les bons vieux centres d’archives sont irremplaçables. Mes livres virtuels y ont d’ailleurs été déposés.

       J’ai été obligée de laisser en place certains liens longs et fragiles quand ils constituaient une source. En effet, il est de bonne pratique scientifique de citer ses sources. Quand celles-ci sont constituées par une page web, il faut bien la citer sous forme de lien... ce qui pose problème si la page disparaît... mais parfois, il n’y a pas moyen de faire autrement. Je gère ces difficultés au mieux que je peux mais je n’ai pas le pouvoir de les supprimer.