table des matières, tome 3
DISPARITION DE LA CENSE DU SOMMERHOF



       "T'es-tu déjà demandé comment on a choisi le tracé des routes qui permettent de franchir le massif du Champ de Feu pour aller à Barr ? Uniquement par rapport au Sommerhoff. On voulait que les gens puissent l'éviter.

       Je ne comprends pas d'ailleurs que ce soit devenu un lieu aussi mal famé. Au départ, pourtant, il n'y avait là qu'une métairie tenue par de braves fermiers anabaptistes portant barbe et parlant bernois …"


       C'est en ces termes que Marie-Thérèse Fischer nous présente les abords de la ferme du Sommerhoff : un lieu de terreur, où l'on se sent suivi, où l'on peut voir des fantômes, où l'on risque de sentir un poids peser sur ses épaules au point de ne plus pouvoir avancer.

       Et pourtant...

       On se souvient que le héros local, Nicolas Wolf, a pu échapper à ses poursuivants au moyen d'un tour de passe-passe dont la ferme du Sommerhof a fourni le moyen : la sorcellerie des anabaptistes a donc joué en faveur de leur communauté d'accueil. En aidant Nicolas, ils ont même fait acte de patriotisme, eux à qui l'on a tant reproché de refuser de participer aux guerres.

       Nul ne les accuse d'avoir attiré la malédiction sur la terre qu'ils occupaient, ou d'y être associés de quelconque façon. Bien au contraire, tant que le Sommerhoff a été habité, il constituait la première présence rassurante pour le voyageur rentrant de Barr à la nuit.

       Je vous renvoie au chapitre intitulé Claude Scheppler et les fantômes. Vous vous souvenez qu'à plusieurs reprises, rentrant de Barr, à l'endroit où le chemin tourne à Obernah, Claude reçoit comme un poids sur les épaules et doit frâler misérablement. Il n'est délivré qu'au moment où il dépasse le Sommerhof.

       Je vous renvoie aussi à l'histoire de la veuve Anne Becker, qui fut jetée à bas de son cheval à la Croix Rouge.

       Au Ban de la Roche, il y avait beaucoup de fantômes, mais les endroits vraiment dangereux étaient très localisés : le chemin du Wolf, la Croix-Rouge (alias ferme du Sommerhoff), j'en oublie peut-être un. Mais ce n'est pas la faute des pauvres anabaptistes qui vivaient là sans se plaindre, et qui, au contraire, offraient une présence rassurante au voyageur.

       Un peu de géographie :

       Barr faisait un peu figure de métropole pour le Ban de la Roche, mais il en était séparé par le massif du Champ de Feu, si bien que le chemin n'était pas facile et qu'on se trouvait souvent dehors à la nuit en rentrant de Barr.

       Imaginez-vous donc rentrer de Barr à la nuit, à travers bois, par de mauvais chemins de montagne sur lesquels on risque toujours l'accident ou la mauvaise rencontre. Vous n'aimez pas cela, vous épiez les bruits, vous vous sentez suivi, et probablement l'êtes vous, car il y a beaucoup de bêtes.

       Vous arrivez au lieudit la Croix Rouge. Sans doute y a-t-il eu là une croix à une certaine époque, mais il n'y en a plus. N'empêche, rien que le nom … la croix, c'est un instrument de supplice, et le rouge, c'est la couleur du sang. D'ici à ce que ç'ait été un lieu de supplice pour les potentats de Barr ou d'Obernai, il n'y a pas des kilomètres, ces endroits étaient souvent situés aux carrefours. Et, même à l'époque moderne, les croix que l'on rencontre dans la campagne signalent l'endroit où il y a eu male-mort , soit par accident soit par meurtre.

       Bon, on ne va pas rester à la Croix Rouge jusqu'à demain … il faut avancer …

       Vous avez le choix : vous pouvez prendre à droite le chemin de Barr ; ou bien à gauche le chemin de Barr.

       Car je vous rappelle que le Ban de la Roche se compose de deux vallées. A droite, la vallée de la Rothaine, reliée au monde extérieur par son chemin de Barr. A gauche, la vallée de la Chergoutte, également reliée au même monde extérieur par son propre chemin de Barr (il y aurait en théorie d'autres moyens d'atteindre le monde extérieur, mais ils passent en terre catholique, donc on oublie ; revenons à nos deux chemins de Barr).

       Ils convergent à la Croix Rouge, quelques pas après la ferme du Sommerhoff, qui est comme enserrée par ces deux chemins, l'un à sa droite, l'autre à sa gauche.

       Donc, atteindre le Sommerhoff, en revenant de Barr, c'est atteindre le Ban de la Roche. Et c'est quitter les bois pour un espace défriché, car les censiers anabaptistes ont l'habitude de créer de grandes clairières. C'est prendre une agréable respiration. En cas de blessure, de mauvaise rencontre ou de trop grande terreur, on peut demander de l'aide au Joseph, qui ne la refuse pas, c'est un aidant, Nicolas Wolf peut en témoigner. On n'est d'ailleurs pas tiré d'affaire pour autant car, aussi bien côté Rothaine que côté Chergoutte, les vrais villages sont encore à deux ou trois kilomètres, des kilomètres de montagne.

       Mais, vers 1830 ou 1840, les voyageurs sont abandonnés à eux-mêmes.

       La ferme du Sommerhof, que l'on avait toujours connue pleine comme un œuf de deux ou trois familles de cousins ayant chacun une nombreuse marmaille, oui la ferme du Sommerhof elle-même se vide inexplicablement, en l'espace de quelques années, et finit par disparaître.

       Aujourd'hui, elle est totalement en ruines.

       Mais il arrive encore, certaines nuits d'hiver, qu'une voiture parte des ruines du Sommerhof, avec son voiturier et un grand chien, pour se rendre à la ferme du Struthof à Natzviller. C'est normal. Ces deux fermes avaient l'une et l'autre des censiers anabaptistes, et ils se connaissaient fort bien, puisque, par exemple, Ulrich Sommer et Marie Saltzmann eurent leur premier enfant à Natzwiller et leur second au Sommerhof. Voyez plus loin les tableaux.

       Vous voyez bien que les légendes ne sont jamais arbitraires.


LES HABITANTS DU SOMMERHOF

Observations générales : 1) la numérotation des générations commence à 5 pour tenir compte du fait que, dans tout ce livre, la génération 1 est et reste celle d'Ulrich Sommer, la 1-1 celle de Jean Sommer, hodé à Waldersbach ; et ainsi de suite ; la numérotation d'Aboville, qui a commencé avec Ulrich Sommer, se poursuit ici selon la même logique ; 3) pour une bomme lisibilité du tableau, seules les informations les plus pertinentes pour expliquer l'abandon de la ferme du Sommerhoff sont mentionnées ; 4 ce tableau privilégie fortement l'étude de la descendance agnatique : ce n'est pas du machisme, mais c'est un fait que ce sont les hommes qui tenaient les fermes.

Génération 4

Observation relative à la génération 4 : l'étude de la génération 4 nous montre le Sommerhoff bourré à craquer de Sommer : la ferme est tenue par deux frères, Jean et Ulrich, elle abrite leur femme et leurs nombreux enfants. Noter quand même la mobilité de ces personnes qui, de leur naissance à leur mort, circulent d'une ferme à l'autre et même jusqu'aux USA. Cette mobilité est déjà très marquée, pour la quatrième génération, pour le couple Ulrich Sommer-Marie Saltzmann : ses enfants naissent à Natzwiller, puis au Sommerhoff, puis à Plaine, puis à nouveau au Sommerhoff.

Génération 5

De Jean (1-1-1-1) x Marie Ruby :

1-1-1-1-1- Ulrich, o 4 octobre 1769, Sommerhoff, + le 20 juillet 1833, à Raon l'Étape, x le 27 décembre 1794 Sommerhoff avec Barbe GUERICH ( née le 18 janvier 1777, à Bourg Bruche, 67130, BAS RHIN, + Usa)

1-1-1-1-2 Chrétien, o le 4 octobre 1769, Sommerhoff, , + le 9 mai 1840, Le Hohwald, 67 x le 7 mai 1793, , Neuviller la Roche, France, avec Marie Madeleine DOLTER, née le 28 juin 1774, Le Hohwald, 67140, BAS RHIN, décédée le 6 mai 1834, Le Hohwald) dont Marie-Madeleine, Marie-Anne, Chrétien, Joseph, Catherine, Elizabeth

1-1-1-1-3 Joseph

Elisabeth, née le 15 février 1780, Sommerhoff, 67130, BAS RHIN, France, x le 18 janvier 1804, , Neuviller, avec André GOERIG, né le 31 octobre 1781, , le Hang Bourg Bruche

D'Ulrich (1-1-2), x Marie Saltzmann

Barbe, o 1765, Natzwiller + le 8 janvier 1822, Breitenbach, 67, x Jean HODLER

1-1-1-2-1 Ulrich, o juin 1767, Sommerhoff, + le 19 janvier 1832, à Barr, x le7 septembre 1795, Neuviller la Roche Cense Sommerhoff, , avec Marie BAECHER

1-1-1-2-2 Jean, o 1768, , Neuviller la Roche, + Kintzheim, 67, x 10 novembre 1795, ,Ste Marie Aux Mines, 68, avec Barbe GOLDSCHMITT

1-1-1-2-3 Ulrich Pierre, o le 15 mai 1769, Sommerhoff, + le 15 mai 1833, x 13 décembre 1809, ,Neuviller la Roche, 67130, BAS RHIN, France, avec Marie ZEHNTER (née le 14 août 1790, Andlau, 67)

1-1-1-2-4 Christian, né en 1775.

1-1-1-2-5 Joseph, né en 1775, Neuviller la Roche, , décédé le 25 septembre 1837, Mittersheim, 57, x le 7 août 1796, Ste Marie Aux Mines, avec Anne Marie SCHWARTZ, née en 1777, Valbach, 68 ; xx avec Anne Marie GOERIG, née le 14 septembre 1788, le Hang Bourg Bruche, 67

1-1-1-2-6 Michel, né le 23 mars 1779, Sommerhoff, x le 8 mai 1811, Neuviller, avec Sara GEORGE, (famille luthérienne) née le 13 novembre 1778, Wildersbach

Madeleine, née le 27 août 1781, à Plaine, 67

1-1-1-2-7 Chrétien, né en 1786, Neuviller la Roche, décédé le 19 septembre 1844, Breitenbach, 67.

Génération 6

Observation commune à la génération 6 : au tournant du 18eme et du 19eme siècles, la cense du Sommerhoff est plus pleine que jamais et abrite plusieurs familles nucléaires puisqu'y naissent des enfants d'au moins Chrétien, Joseph, et Ulrich. Sans compter les enfants enregistrés comme nés à Neuviller sans autre précision, et qui peuvent donc être nés au Sommerhoff.
Cependant, c''est le début de la fin, et la tendance au départ est forte. Pour de nombreux enfants, la date de naissance est la seule connue : indice de migration.

Jean Sommer et Marie Ruby ont trois enfants mâles : Ulrich (1-1-1-1-1), Chrétien(1-1-1-1-2) et Joseph (1-1-1-1-3).
- les enfants d'Ulrich (1-1-1-1-1-1 ; 1-1-1-1-1-2 ; 1-1-1-1-1-3) ne nous sont connus que par leur date de naissance : indice de migration
- quant à Chrétien époux Dolter (1-1-1-1-2), il ne reste pas longtemps au Sommerhoff puisque son fils ainé (Chrétien, 1-1-1-1-2-1) y nait en 1797, mais que son second fils (1-1-1-1-2-2-) nait au Hohwald (67 ; c'est tout près d'ailleurs)

- reste Joseph époux Goerig (1-1-1-1-3) ; ses trois premiers enfants au moins naissent au Sommerhoff entre 1807 et 1811 : c'est donc lui qui semble avoir, le plus longtemps, tenu cette cense. Mais :
  • deux de ses enfants, Pierre (1-1-1-1-3-3-) et Jean (1-1-1-1-3-4) migrent aux Etats Unis. Pierre (1-1-1-1-3-3-), né le 24 avril 1811 au Sommerhoff, se marie aux USA en 1834 : la migration a donc eu lieu entre ces deux dates; Probablement n'est-il pas parti seul, car nombre de ses frères et cousins ne laissent pas d'autre trace accessible que leur date de naissance. Et probablement que ce départ a eu lieu très près de 1834. En effet, son père Ulrich Sommer (1-1-1-1-1-)meurt en France en 1833, mais ensuite, sa mère Barbe Guerich meurt aux Etats-Unis.
  • Pour ses deux autres enfants (Joseph :1-1-1-1-3-1 ; et Christian 1-1-1-1-3-2), nous n'avons qu'une date de naissance, ce qui est un indice de migration
Passons aux cousins, issus d'Ulrich et de Marie Saltzmann :
- Ulrich époux Baecher (1-1-1-2-1) est particulièrement mobile :son premier enfants naît au Sommerhoff ; le second à Mussig ; le troisième on ne sait où ; le dernier à Barr
- Jean époux Goldschmitt (1-1-1-2-2-) n'a aucun enfant au Sommerhoff
- Ulrich-Pierre époux Zehner a ses enfants à Neuviller, donc peut-être au Sommerhoff, mais tous meurent en bas âge.
- De la descendance des autres enfants, nous ne savons rien, ou alors uniquement la date de naissance, ce qui est un indice de migration (si les enfants étaient morts prématurément, la date de décès se trouverait aisément, dans les environs de la date de naissance)
Conclusion générale : il semblerait que la cense du Sommerhoff ait été tenue en dernier lieu par le couple Joseph Sommer-Anne-Marie Goerig, avant une grande migration aux Etats Unis vers 1834 comprenant cousins et vieux parents


d'Ulrich x Guerich
1-1-1-1-1-1: Jacob,
1-1-1-1-1-2: Joseph, né le 3 février 1801, sans autre date connue
1-1-1-1-1-3 : André le 25 décembre 1814, sans autre date connue

de Chrétien x Dolter
1-1-1-1-2-1 : Chrétien, né le 7 juin 1797, Sommerhoff, + le 16 septembre 1861, Breitenbach, 67 ; x le 5 juillet 1826, Solbach, 67 avec Catherine Concorde BANZET
1-1-1-1-2-2 : Joseph, né le 10 mars 1800, Le Hohwald, ; + le 17 avril 1800

de Joseph x Goerig
1-1-1-1-3-1 : Joseph, né le 13 février 1807, ,Neuviller la Roche.
1-1-1-1-3-2 : Christian, né le 7 novembre 1808, Sommerhof, Neuviller
1-1-1-1-3-3 : Pierre, né le 24 avril 1811, Sommerhof, + 29 mars 1880, Gridley, McLean County., Illinois, USA : x en août 1834, Woodford County, IL, avec Catherine SCHERTZ, (née en août 1816 en Allemagne, + en août 1874, ,Gridley, Livingston, Illinois)
1-1-1-1-3-4 : Jean (John), né le 25 mai 1813, x avec Barbara SCHERTZ, dont Mary (x avec Christian AUGSPURGER)

d'Ulrich x Baecher
1-1-1-2-1-1 : Christian ; né en 1796, Neuviller la Roche Cense Sommerhoff, décédé en 1796, ,
1-1-1-2-1-2 : Chrétien né le 27 septembre 1797, Mussig, 67, + décédé en 1868, x Elisabeth ZOHNER.
1-1-1-2-1-3 : Michel né le 3 février 1803, + en 1868, x Anne ERB,
1-1-1-2-1-4 : Pierre né en 1816, Barr.

de Jean x Goldschmitt
1-1-1-2-2-1 : Christian, né en 1797, ,Ste Marie Aux Mines, + en 1797, , Ste Marie Aux Mines
1-1-1-2-2-2 : Jean, 1801-1802, Sainte Marie aux Mines
1-1-1-2-2-3 : Joseph, o le 23 septembre 1802, , Ste Marie Aux Mines
1-1-1-2-2-4 : Jean, né en 1805, Ste Marie Aux Mines, x en 1833 avec Catherine GOERIG
1-1-1-2-2-5 : Chrétien, 1812-1813, Sainte Marie aux Mines
1-1-1-2-2-6 : Jean né le 17 avril 1814, ,Kintzheim, 67, x avec Anne Marie STUKY.

d'Ulrich-Pierre x Zehnter
1-1-1-2-3-1 : Christian 1810-1810 Neuveiller
1-1-1-2-3-2 : un garçon mort né
1-1-1-2-3-3 : Pierre, 1813-1813, Neuviller
1-1-1-2-3-4 : Joseph : 1815-1815 Neuviller


de Christian
Sans alliance ni descendances connues

de Joseph x Schwartz
1-1-1-2-5-1 : Joseph né le 31 mars 1800, , Mussig, 67

de Michel x George
1-1-1-2-6-1 : Michel né le 11 février 1815, , Neuviller la Roche
1-1-1-2-6-2 : Joseph né le 3 avril 1819, , Neuviller
1-1-1-2-6-3 : Jean né le 4 avril 1822, , Neuviller


de Chrétien
Sans alliance ni descendance connues

Génération 7

Observation : il ne naît semble-t-il plus de Sommer à la ferme du Sommerhoff

De Chrétien x Banzet
1-1-1-1-2-1-1 Chrétien-Charles, o le 25 novembre 1829 - Breitenbach, Le Hohwald, 67 : + le 29 mars 1886 ; x le 8 mai 1873, Le Hohwald, avec Caroline MAYER, (dont Caroline Frédérique 1874-1875) ; xx le 10 mai 1876, , Grandfontaine, 67, avec Sophie TRIDHART (dont Sophie 1877-)

1-1-1-1-2-1-2 : Frédéric-Chrétien, o le 12 mai 1835 - , Le Hohwald, baptisé le 25 mai 1835 ; + le 10 février 1911 , Grendelbruch, 67 ; x le 22 décembre 1864, , Breitenbach, 67220, BAS RHIN, France, avec Joséphine GROSHENS, dont Joseph, Georges, Michel, Jean, Caroline

1-1-1-1-2-1-3 François-Louis, o le 12 août 1836 - Le Hohwald, Breitenbach, 67 ; + le 26 octobre 1839 - Le Hohwald

1-1-1-1-2-1-4 Joseph, o 10 septembre 1841 - , Breitenbach, 67 , sans plus de renseignements


Fusion d'une branche de la famille Sommer dans la population générale :

Noter les noms des épouses, caractéristiques de la population générale de la vallée

Génération 6

(rappel)
1-1-1-1-2-1 : Chrétien, né le 7 juin 1797, Sommerhoff, + le 16 septembre 1861, Breitenbach, 67 ; x le 5 juillet 1826, Solbach, 67 avec Catherine Concorde BANZET

Génération 7

(rappel)
1-1-1-1-2-1-2 : Frédéric-Chrétien, o le 12 mai 1835 - , Le Hohwald, baptisé le 25 mai 1835 (noter ces dates : Chrétien et Catherine-Concorde ont hésité 15 jours, mais ils ont fait baptiser leur fils); + le 10 février 1911 , Grendelbruch, 67 ; x le 22 décembre 1864, Breitenbach, 67220, BAS RHIN, France, avec Joséphine GROSHENS, dont Joseph, Georges, Michel, Jean, Caroline

Génération 8

1-1-1-1-2-1-2-2 : Georges Sommer , cultivateur ; o le 3 septembre 1868 - , Grendelbruch, 67190, BAS RHIN, + le 2 août 1944 - , La Broque ; x le 30 mars 1891, Grendelbruch, 67190, Sophie CHRISTMANN (1867-1896), dont Joséphine (1892-1962) ; Chrétien (1893-1977) ; Sophie (1895-1896) ; xx le 29 avril 1897, à Klingenthal, 67530, BAS RHIN, avec Louise MATTERNE (1877- ), dont Marie (1898-1951)





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